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Je ne peux peindre un lieu que je n'ai pas visité moi-même ...il faut que je le ressente (une émotion).
J'aime le calme de mon atelier comme si j'avais besoin de me sentir à l'aise et peindre à mon rythme, sans avoir peur de me tromper.
Ma peinture devient de plus en plus une peinture d'interprétation. J'arrive de moins en moins à peindre devant les gens lorsque je suis devant mon tableau. Je ne me sens plus moi-même, c'est pour cela que je m'isole.
Je suis beaucoup plus à l'aise avec des paysages que je connais...c'est à partir de l’atmosphère ambiante que je ressens l'envie de les retranscrire sur la toile.
J'essaie alors de me remplir de mon motif, de le ressentir au plus profond de moi-même... A ce niveau, j’atteins mon but,
celui que doit ressentir le visiteur : la lumière et donc l’atmosphère, telles que je les ai moi-même vécues.
Artistiquement, Marcelle
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